Le ministre répète que l'inclusion scolaire des élèves en situation de handicap est une priorité. Pourtant il fait le choix de maintenir dans la précarité les 110 000 AESH qui jouent un rôle essentiel dans l'accompagnement de ces élèves, refuse de s'engager vers une amélioration de leur conditions d'emploi et dégrade leurs missions à travers la mise en œuvre des PIAL.